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Poétique de l'espace, immersion, subjectivité
L'anaphore de l'anableps
Anableps, tu cherches à voir par-dessus et par-dessous, au-delà et en deçà, dans deux directions divergentes qui te donnent peut-être une moyenne à viser. D’un côté du ménisque de l’eau, tes proies volantes, de l’autre côté, tes prédateurs ondulants.
Billets gratuits
Saisir, par un discours ouvert à tous vents, comme qui dirait gratuit, l'esprit du temps...
Mai 2024
Le temps de l’autocritique ?
Qu’est-ce qu’avoir un regard critique sur soi ? En quoi un tel regard, loin, cependant, des autocritiques imposées par les idéologies, du type procès de Moscou, est-il particulièrement nécessaire en 2024 ? Les chiffres nous le disent : nous vivons une époque contre-révolutionnaire, par trop versée dans le kitsch de la pensée. Tout se multiplie et se démultiplie. Les divisions tombent trop juste. Les ennemis sont trop ennemis, les amis faussement amis. Chacun pense immodérément aux autres, les accaparant comme balises, comme repères, dans l’oubli de soi. Un oubli paradoxalement égocentrique.
Bio
Né un beau matin de mai 1968 aux portes de la capitale, au sortir d’une des nuits les plus agitées par la révolte estudiantine, laquelle avait justifié, à cause des pénuries d’essence, de conserver prudemment au garage la Dauphine familiale, réservoir rempli, en prévision d’un transfert urgent à la maternité, né, donc, l’année où Roland Barthes expliquait doctement à qui voulait bien l’entendre que le réel n’est qu’un effet de langage (c’était quelques années avant que Lacan nous rappelle crûment que “le réel, c’est quand on se cogne”), l’année, surtout, où Gilles Deleuze dissolvait ce même réel dans un joyeux entrelacs de “Différence et répétition”, j’étais probablement prédestiné à vivre le langage sinon comme un problème, du moins comme un élément rien moins qu’évident ou naturel.
Quelques haïkus
Promenades architecturales
Evénements
- jeu. 18 marsConférence en ligne18 mars 2021, 11:00Conférence en ligne